Kamanyola : Malgré la hausse de drogue, les prenneurs cirottent toujours à qui mieux-mieux.

Les preneurs des produits dont l’alcool est à un pourcentage supérieur confirmer la hausse de leur produit. Malgré cette situation, la campagne d’en prendre n’est pas tene, ont affirmé ces soulards ce jeudi 19 Janvier à Flash fm.

Dans plusieurs coins des ventes de ces produits, les jeunes rencontrés ont affirmé : « Nos produits préférés ont gallopé les prix. Exemple : une bouteille de Simba 200ml qu’on achètait à 1000fc revient actuellement à 1500fc. Une bouteille de 100ml de capitaine Cock jadis bu pour 1000fc aujourd’hui il revient à 1200f voire 1800fc. Cela complique un tout petit peu mais nous cirottont comme ça», ont indiqué ces ivrent dont leurs noms n’ont pas été cité pour d’autres raisons.

Parmi les produits qui font la fierté de table et importé dans le groupement de kamanyola on note : Simba, Spuce, mintoos, Hozagara, Cock, café,.. A côté des ces exemples, on voit d’autres produits alcoolique produits localement notamment : Kapitambele et mungazi… Or le kargazoke est un autre produit qui semble planer dans la zone reconnu pour des pasteurs. Sa prise en excès renvoit à l’ivresse; une dame nous a relevé dans la localité de Kambara.

Un coin sombre et peu dissimulé au milieu des maisons à Rubumba reconnu sous le nom de Karhale, était un véritable bustros de retrouvaille. Il faut y aller avec esprit de sans choix. Sur le lieu, des produits locaux avec un pourcentage fort d’alcool plus du chanvre se consomment là-bas moyennant des dames aux aisselles. La boisson appelée tambawichara, le kanyanga et autres sont parmi les rejouisseurs.

Les analystes anonymes passent que: «la hausse de prix de ces produits releve de la volonté ferme du gouvernement de finir avec la présence des stupéfiants sur son territoire. Par contre, les mêmes sources regrettent la prise abusive des stupéfiants dans le groupement de kamanyola qui pour eux, est d’un grand renommé. A part ça, il regorge des intellectuels qui méritent. Se faisant, ils veulent voir les autorités locales chacune à ce qui lui concernes d’interdire certaines pratiques. Fermer également certains coins des soulards. Aux structures citoyennes de n’est pas se fatiguer pour la campagne contre ces stupéfiants»,Conseillent  gratos ces interlocuteurs.
Christian Bunani

Read Previous

Uvira: La SOCICORDC appelle la population à s’approprier l’enrôlement. 

Read Next

Kamanyola : L’AJKD plante des arbres fleurissants dans la cour du groupement.

Leave a Reply

Most Popular