Au cours de l’assemblée générale élective de l’intersyndicale des syndicats des enseignants axe Uvira, tenue ce Vendredi 10/02/2023 dans la salle de reunion de L’HÔTEL Shaloom, un comité de six membres a été plébiscité.
Selon Jean Pierre Batachoka porte parole du SEC (Synergie des enseignants de carrière) et président choisi pour l’Intersyndicale dans cette partie éducationnelle de l’EPST : «Ces élections ont eu lieu dans toute transparence, crédibilité et de manière libre»
Après le vote, les secrets de l’urne ont classé les candidats selon les différents postes de manière suivante :
1. IRENGE J.Pierre: Président et PP (S.E.C),
2. LWAMUGUMA Bachelor: V/Président (SYNEP),
3. FANAKA Paul Alfayo: Rapporteur,
4. LUUNDO KIZA Bazile (FENECO/UNTC): Sec rapporteur Adjoint(CDT),
5. Shilangi Yangilwa Questeur (C.E.C),
6. HURUMA Godefroid: Questeur Adjoint(Espoir), Collège des Conseillers: Wimana Kitungano J.Robert(SYNECAT), ITOKA IKI-ILO(SYECO), BWANA CHEKO BIN LUTETE(SYNEEP).
Au terme de la réunion, ces nouveaux élus, ont promis défendre les droits des enseignants violentés et cela sans intimidation. Pour y parvenir, ces voix des sans voix des enseignants, envisagent en collégialité une parfaite collaboration segmentée par la convergence. Sans cela leur mission ferait choux-blanc et les conditions salariales des enseignants ne seront jamais garnis de moyen voulu et promis.
D’un autre côté, nos sources font penser volontiers : «Cette élection se passe dans une situation de division prévisible entre les enseignants des écoles primaires et ceux des écoles secondaires en RDC. Ces deux types d’enseignants semblent ne pas émettre sur la même mesure d’ondes à la différence du quota mensuel de chacun. Cette cacophonie parrainée par le gouvernement central tend vers la création des maintes syndicats. A l’occurrence celui uniquement pour les enseignants payés (Ils seront entrain de revendiquer la majoration de salaire); celui des N.U(pour les suivis de leurs dossiers) et pour les N.P(Pour cherche où accroche leur enveloppe salariale). Pareille situation ne va pas échapper aux collaborateurs du secondaire.
Cette dislocation serait probable se jour où, les réclamations des enseignants au prêt du gouvernement sont multiformes et divergentes». Pour suivent-ils.
Pour prouver leurs dires, ils prennent à témoignages la grève récente des enseignants des écoles primaires publiques qui s’étaient illustrés impitoyablement en grève, oubliant que le gouvernement se vienne d’eux et au fur et à mesure place son attention aux enseignants.
Pour éviter pareil situation, ces penseurs en qualité des parents, demandent à ces structures de représentant des enseignants de veiller à l’élite de l’éducation congolaise que de l’embarquer dans charois des tiers individus sous couvert des partis politiques.
Rédaction flash fm