15 candidats à l’examen d’état de l’institut Technique Médical ITM en sigle dans le groupement de Kamanyola territoire de Walungu, viennent de bénéficier de la Fondation COKOLA KATINTIMA, chacun 10$ comme contribution sur les 130.000fc fixés comme frais de participation aux prochaines épreuves de fin du cycle secondaire.
«Ce geste de contribution vient s’ajoute au précédent posé par la même fondation en faveur des élèves finalistes de 6ème secondaire dans le groupement de Nyangezi, Kamanyola et ceux de Kaziba dans le territoire de Walungu», a indiqué Budika Bitaisha Élie deuxième suppléant de l’honorable
«Nous remercions Prince Cokola Katintima pour son geste de générosité et sans particularité qu’il rend à ce jour où nous approchons les examens d’Etat. Il est vrai que les parents dont leurs élèves font la sixième ici chez nous, peinent de finir avec le payement de 130.000fc de participation à l’examen d’Etat soit par insuffisance de moyens. C’est par ici, que nous remercions vivement l’honorable pour ce soutien envers nos élèves» a indiqué madame le préfet de l’ITM-Kamanyola Magega Cherekeya Ledy.
Ces mêmes paroles de remerciements traduites par des joies manifestées envers le donateur, ont été exprimées par le comité de parents des élèves de cette école médicale présents lors de la remise de l’enveloppe.
Hormi le remerciments, le président du comité de parents Monsieur Tendela Mugalwa a sollicité: «à la fondation de procéder éternellement dans des actes pareils. Outre, il a prié aux visiteurs de prendre de deux mains d’autres difficultés auxquelles butte cette institution. L’ITM Kamanyola peint pour avoir un laboratoire aux normes standards, les locaux dans lesquels ils évoluent nécessité encore de retouches» Rencherit-il.
Ce dernier invite les parents d’ajouter le reste de cette somme afin que leurs élèves puissent passer dans toute tranquillité les examens.
Signalons que l’ITM-Kamanyola est une école officielle qui œuvre encore dans les anciennes réformes, organisant les sciences infirmières comme l’unique option. Des démarches seraient encours pour migrer de l’ancienne réforme pour les réformes modernes, avions appris de l’hiérarchie de cette école.
Christian Bunani