• novembre 22, 2024

Affaire commune de Kamanyola : Les activités sociales au verrou en début de cette semaine.

Conformément aux alertes des certaines structures citoyennes de Kamanyola dans le territoire de Walungu, ce lundi 03 juillet 2023 des activités sociales et des routines ont connus des perturbations depuis le matin. Boutiques, éditions, bars sont restés fermer. Les engains n’ont pas rouler sur la principale RN5. Il a fallu aux voyageurs Bukavu-Uvira et vice-versa de faire les pieds des quels que kilomètres pour des jonctions, a constaté la radio communautaire Flash fm.

«Non aux multiplicité des taxes imposées par la chefferie. Nous voulons que le décret nº029/013 du 13 juin 2013 faisant Kamanyola une commune rurale soit appliqué. Sinon le peuple se libére elle même» tels sont parmis les inscriptions lisibles sur des calicots et autres affiches bandés ici et là sur les artères de Kamanyola.

La nouvelle société civile congolaise noyau de Kamanyola, à travers son président Bisimwa Birindwa, entretenu avec ce jour affirme que : «La marche est organisée pour plus ou moins 10 jours et cela sans circulation ni activités socio-économique dans le groupement. Réclamer ce qui revient à quelqu’un, est un droit et non une faveur».

Malgré que cette marche aboutit aux barricades de la RN5, les closes de la réunion du conseil de sécurité locale tenue le weekend, ont détesté l’expression de revendiquer la commune en bloquant la voie publique. «En ma qualité du chef de groupement, représentant nº1 du chef de la chefferie de Ngweshe et président du conseil local de la sécurité, j’interdis formellement la marche organisée par des fractions des mouvements citoyens tandant à barrer la route nationale numéro cinq. Entre temps j’accepte d’autres voies et moyens pour s’exprimer dans le sens pacifique», a dit Papy Migabo François chef du groupement de Kamanyola. Faisant promesse au récalcitrants que passer outre la mesure, la loi pèsera sur eux.

Ces propos d’interdire la barricade de la RN5, ont également été affirmés par la société civile force vive de Kamanyola. «Oui à la revendication, mais non à la barricade de la route. Des sit-in au groupement, des mémorandums etc… Sont des meilleures façons de se faire entendre que de ploquer la route pendant 10 jours», a rhétoriqué Madame Joséphine MUGOTO présidente de la société civile force vive.

D’autres sons anonymes, pensent que organiser une telle manifestation jusqu’à affecter les peuples plus démunis, est un crime. «Bloquer les activités génératrices et de revenus de la population, pour réclamer la commune, c’est une volonté de nous tuer. Tout ça sont des démarches politicienne, à travers lesquelles d’autres impopulaires veulent se faire voter. Tout acte comptera», parlent-ils.

 Whant and see!!!!!

Rédaction flash fm

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